La technologie n’est pas l’ennemie de la nature. L’homme déconnecté l’est.
- Stéphanie Dordain
- 2 avr.
- 2 min de lecture

J’ai eu une vision.
Et j’ai un message à faire passer.
Ce message ne vient pas de mon mental.
Il m’a traversée comme une évidence, une mémoire.
Il parle d’un futur possible. D’un futur que j’ai vu.
Et peut-être… d’un futur que tu portes, toi aussi.
Ce monde n’est pas une utopie.
Il est une réponse.
Il est un pont entre la nature et la technologie, entre l’oubli et la mémoire, entre destruction et réconciliation.
Ce que j’ai vu
J’ai vu un monde lumineux.
Rempli de sphères de verre, de cristaux vivants, de bâtiments transparents qui vibraient comme des temples.
Des véhicules flottaient, légers, au-dessus de la terre.
La technologie était partout, mais elle n’écrasait rien.
Elle épousait.
Et dans chaque lieu, dans chaque temple, il y avait des végétaux.
Pas comme une décoration.
Mais comme des trésors sacrés.
Conservés dans des sphères de verre, dans des écrins d’argent.
Un seul arbre, parfois, au centre d’un bâtiment immense.
Et autour, le silence. Le respect. La vénération.
Ces arbres n’étaient plus nombreux.
Mais ils étaient devenus l’or du futur.
Et la technologie servait à honorer leur mémoire, à récupérer leur empreinte pour régénérer de l’oxygène, pour recréer la vie.
Un monde sans élevages, sans souffrance animale
Dans cette vision, il n’y avait plus d’élevages, plus de chaînes de souffrance.
La viande n’était plus nécessaire.
L’homme avait compris.
Il restait encore des animaux sauvages, mais ils vivaient dans des zones sacrées, interdites aux humains.
Des zones protégées, inviolables.
Et l’humain, dans ses villes modernes, vivait enfin en respect avec le vivant, dans une juste place.
La vérité nue : ce n’est pas la technologie qui détruit. C’est l’homme déconnecté.
La nature ne nous a pas été enlevée par les machines.
Nous l’avons trahie bien avant.
Par la déforestation.
Par la consommation.
Par l’exploitation du vivant.
Mais maintenant, une autre voie s’ouvre.
Et cette technologie, que beaucoup craignent, a été envoyée pour nous ramener vers l’essentiel.
Elle peut être notre miroir.
Notre rappel.
Notre pont.
Ce que je crois
Je crois que ce monde existe déjà quelque part.
Peut-être dans une autre dimension.
Peut-être dans notre futur.
Ou peut-être en nous, en sommeil.
Je crois que nous avons le pouvoir d’y accéder.
Pas en rejetant le progrès,
Mais en le réorientant avec conscience.
Nous avons tout entre les mains. Et la question n’est pas : “La technologie est-elle mauvaise ?” Mais plutôt : “Comment allons-nous l’utiliser ?”
Un appel
Ce texte n’est pas une utopie. C’est une mémoire du futur, un fil rouge entre l’humain, la nature, et ce que nous pouvons redevenir.
À toi qui lis ces lignes :
Tu as un rôle.
Tu es un maillon.
Tu portes en toi une part de ce monde à venir.
Et si tu t’en souviens,
alors il renaîtra.
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